Vos rêves
apocalyptiques et vos péchés spectaculaires
sont en train de réveiller le Moyen-Orient.
Dans
votre guerre sainte, venez sur une terre sainte.
Venez,
enfants d’Abraham, venez !
Le
peuple de la croix se rassemble à vos portes avec un message :
L’amour
vient vous trouver,
comme un coup de vent, soufflant sur l’Océan
pacifique,
des collines du Mont des Oliviers aux vents
du désert de la Jordanie,
des cèdres du Liban aux routes de la soie en
Orient.
Une armée
arrive, sans chars d’assaut ni soldats,
une armée de martyrs, fidèles jusqu’à la
mort
portant un message de vie.
Le
peuple de la croix vient mourir à vos portes.
Si vous n’écoutez
pas les paroles de notre message,
alors nous vous le montrerons avec le don de
nos vies,
pour chaque gorge tranché et chaque femme violée,
pour chaque homme brûlé vif et chaque enfant
réduit en poussière.
Il
y a du sang sur tes mains, mon frère.
Mais
venez, frères, venez !
Venez
avec vos mains tachées de sang.
Venez
avec vos yeux remplis des meurtres du peuple de la croix.
Venez
déposer vos armes et vos couteaux au pied de la croix.
Un
amour profond, dû depuis trop longtemps, parcourt vos cités.
Si vos
péchés sont rouges comme de l’écarlate,
ils peuvent devenir blancs comme la neige.
Vous
vous faites appeler des serviteurs,
Mais
Il fera de vous des fils !
Où pouvez-vous
fuir pour échapper à son amour ?
Même les ténèbres ne peuvent pas vous
cacher.
Venez,
frères, venez !
Entendez-vous
le bruit d’une pluie battante
pour enlever tout péché et panser toute
blessure ?
Vous
mourez pour votre dieu, notre Dieu est mort pour nous.
Le Roi des rois vient pour être l’Agneau sacrifié,
égorgé sur l’autel à notre place :
Jésus-Christ, Isa al Masih,
marche à travers le Moyen-Orient.
En cette
nuit, il y a un pardon pour toi, mon frère.
Il y a une guérison pour tes péchés, mon
frère.
Nous ne
sommes pas différents :
si ce n’était par son sang, nous ne serions
pas meilleurs que le pire des jihadistes.
Christ a
été crucifié, une fois pour toutes,
pour transformer des pécheurs comme toi et
moi en frères.
Même
toi.
Même maintenant.
Il
n’est pas fou celui qui perd ce qu’il ne peut garder, afin
de gagner ce qu’il ne peut perdre. (Jim Elliot)